Une démarche réalisée sur le territoire de la Communauté de communes Terre d'Eau

Trois compagnies d’artistes et une universitaire ont été invitées à rencontrer les habitants sur tout le territoire pendant la période de juillet à novembre 2024, résidence de 6 semaines à chaque fois.

Principe du diagnostic sensible : les différents les intervenants doivent rentrer en interaction en créant des situations d’observations et d’échanges autour d’une pratique culturelle (ateliers, création participative, entretiens…). Les actions étant coordonnées par un ou une universitaire, qui devra en faire la synthèse et proposer des actions.

Le samedi 22 mars dernier avait lieu la restitution publique de cette démarche innovante associant approches artistique et sociologique. Rendez-vous était donné à la Médiathèque de Vittel !

Une démarche réalisée sur le territoire de la Communauté de communes Terre d'Eau

Trois compagnies d’artistes et une universitaire ont été invitées à rencontrer les habitants sur tout le territoire pendant la période de juillet à novembre 2024, résidence de 6 semaines à chaque fois.

Principe du diagnostic sensible : les différents les intervenants doivent rentrer en interaction en créant des situations d’observations et d’échanges autour d’une pratique culturelle (ateliers, création participative, entretiens…). Les actions étant coordonnées par un ou une universitaire, qui devra en faire la synthèse et proposer des actions.

Le samedi 22 mars dernier avait lieu la restitution publique de cette démarche innovante associant approches artistique et sociologique. Rendez-vous était donné à la Médiathèque de Vittel !

Premier artiste

Seconde compagnie

Troisième artiste

Restitution

Premier artiste : Maxime Le Moing, artiste son, radio, animation nature

À l’aide d’un porte-voix, Maxime nous a conduits sur le parking en face de la médiathèque où était garée une Clio totalement peinte et tagguée. En effet, Maxime avait garé ce véhicule sur les parkings de supermarchés avec une pancarte : « Venez peindre ma voiture » : occasion de discuter avec les habitants sur leur vie, l’art, leurs passions…

Maxime a aussi travaillé avec des jeunes de la Toupie sur un montage radiophonique (son domaine de prédilection artistique) : texte, enregistrement… la restitution audio était faite depuis la voiture, une histoire un peu surréaliste sur l’écrevisse du Vair…

Il s’est aussi déplacé en stop sur le territoire avec une pancarte « Faites-moi découvrir les Vosges », démarche qui s’est révélée plutôt difficile et infructueuse d’où un revers de pancarte « Je ne suis pas un serial killer ». Recueils de photos et de témoignages, il a rencontré notamment des chasseurs qu’il a accompagnés à la chasse.